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La pandémie pourrait laisser des cicatrices durables sur les économies les plus pauvres : il est dans l’intérêt de tous d’agir sans délai

Un an après le début de la crise de la COVID-19, la majeure partie des 74 pays les plus pauvres de la planète semblent avoir été épargnés jusqu’ici par les épidémies de grande ampleur qui sont devenues la norme ailleurs. Parmi les pays pouvant bénéficier des financements de l’Association internationale de développement (IDA), le fonds de la Banque mondiale pour les pays les plus pauvres, le taux d’infection au nouveau coronavirus était de 32 pour 100 000 personnes en janvier, soit 5 % de la moyenne de l’ensemble des économies émergentes et en développement.