Avec plus de 600 services dématérialisés en janvier 2024, le Maroc fait partie des meilleurs élèves d’Afrique en matière de numérisation des services publics. Deux institutions nationales s’associent pour en faciliter l’accès de ces derniers aux citoyens.

Ce dispositif couvre jusqu’à 50% des prêts accordés aux très petites et moyennes entreprises. Il vise à améliorer l'accès au financement pour un segment qui représente 95% des entreprises au Sénégal, mais ne capte que 9,6% du crédit bancaire.

La période transitoire pour se conformer à l’instruction de la BCEAO sur les services de paiement dans l’UMOA prend fin le 1er mai 2025. La BCEAO appliquera-t-elle cette échéance ou accordera-t-elle un nouveau report ?

Un an après le lancement d’une structure de financement des fonds d’investissement dédiés aux PME agricoles en Afrique, I&P poursuit son développement dans ce secteur en ciblant 6 économies africaines en Afrique centrale, de l’Est et de l’Ouest. 

Quickpay devient la deuxième fintech de l’espace UEMOA à obtenir la licence d’EME. Elle peut désormais émettre et gérer de la monnaie électronique à partir du Sénégal. 

Une série de nouvelles réglementations imposées par la Banque centrale de Tunisie risque d’affaiblir la rentabilité des banques commerciales et de peser sur les rendements des investisseurs, selon une analyse de Fitch Ratings. 

Le gouvernement béninois a récemment lancé un projet pilote d’assurance agricole à indice de rendement visant à couvrir 100 000 agriculteurs. Ce mécanisme innovant va permettre de protéger les agriculteurs contre les pertes de production dues aux aléas climatiques (sécheresse, inondations, maladies des cultures, etc).

A Madagascar, seulement 8% des entreprises accèdent à des prêts bancaires, un taux bien en deçà de celui estimé en Afrique subsaharienne, qui est de 19,5 %. Cette donnée émane d’un rapport de la Banque mondiale (BM) sur la conjoncture économique de Madagascar, intitulé « Combler le gap de la productivité ».

Malgré des opportunités économiques évidentes, les échanges entre l’Afrique francophone et anglophone restent limités. Un forum à Lagos tente de changer la donne.

La croissance du marché du paiement différé en Afrique découle essentiellement de l’intégration de cette alternative attrayante aux méthodes de paiement traditionnelles dans les plateformes de commerce électronique, et de son adoption croissante dans d’autres secteurs comme le financement des soins de santé et de l'éducation.